Podcast

Le cerveau des adolescents est littéralement génial !

Vous avez peut-être déjà douté de cette affirmation, surtout quand votre enfant rentre du collège, déçu de ses résultats.

Et pourtant, c’est bien vrai. Mais connaissent-ils le fonctionnement de leur cerveau ?

Le cerveau des adolescents est littéralement génial ! 

Vous avez peut-être déjà douté de cette affirmation, surtout quand votre enfant rentre du collège, déçu de ses résultats. 

Et pourtant, c’est bien vrai. Mais connaissent-ils le fonctionnement de leur cerveau ? 

Les enfants vont à l’école pour apprendre, et l’apprentissage se fait dans le cerveau.

Jusque-là je ne vous apprends rien.

Entre 3 et 18 ans, le cerveau d’un enfant subit des changements majeurs dans son développement.

C’est pour ça que les neurosciences (l’étude du cerveau) et l’éducation sont étroitement liées.

Je vais prendre une métaphore toute bête mais parlante. Un garagiste a besoin de comprendre le fonctionnement du moteur de la voiture pour la réparer quand elle tombe en panne.

Les enfants et les adultes ont besoin de comprendre le fonctionnement de leur cerveau pour apprendre et transmettre.

Comment apprendre en ayant jamais entendu parler de la plasticité cérébrale ?

Comment apprendre lorsqu’on croit que tout est joué à la naissance ?

Comment apprendre sans avoir entendu parler de mémoire de travail à court terme et de mémoire à long terme ?

Mieux connaître le fonctionnement de son cerveau pour mieux apprendre, ne fait pas partie du programme au collège mais les jeunes collégiens en ont pourtant tellement besoin !

 Dans ce podcast je vous partage mon expérience dans l’aide que j’apporte aux collégiens, afin de leur apprendre à apprendre.

Nous allons également aborder les différentes stratégies validées, par la science, que j’utilise. Afin de les aider à mieux apprendre, c’est-à-dire plus vite, plus efficacement et pour plus longtemps.

Si vous voulez en savoir plus sur l’accompagnement que je propose pour les adolescent, c’est ici.

J’espère que vous apprécierez ce podcast. Si c’est le cas, n’oubliez pas de laisser un commentaire et de cliquer sur les étoiles pour donner de la visibilité au podcast.

Les news 

Pour recevoir des clés pour développer le plein potentiel des enfants à la maison et à l’école, c’est ici.

Pour passer à la vitesse supérieure et vous former en ligne et/ou en présentiel, c’est ici.

Vous voulez aider votre ado à apprendre à apprendre au collège c’est ici.

Des conseils concrets sur ma chaîne YouTube 

Des heures de vidéo sur l’école, la pédagogie Montessori, la parentalité consciente, l’intelligence émotionnelle ici.

Cette semaine, nous allons poursuivre notre réflexion entamée la semaine dernière, lors du podcast 44, sur les travaux de Maria Montessori à la lumière des découvertes en neuroscience. Cette semaine allons parler du transfert des apprentissages en nous appuyant sur les travaux de Steve Masson et Angeline Stoll Lillard.

L’importance du transfert des apprentissages:

Le fait que des neurones qui s’activent ensemble se connectent ensemble permet de créer des liens entre deux ou plusieurs éléments à condition que ces deux éléments soient activés en même temps. Donc plus il y a de lien entre 2 réseaux de neurones plus en activant un réseau de neurones on a de chance d’activer l’autre réseau de neurones.

Dans le podcast de cette semaine, je vais vous parler du lien entre les travaux de Maria Montessori et les neurosciences.

Pour cela je vais m’appuyer sur les travaux de Steve Masson et Angeline Stoll Lillard.

Steve Masson est professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et directeur du Laboratoire de recherche en neuroéducation (LRN). Il a fondé l’Association pour la recherche en neuroéducation (ARN), un organisme ayant pour mission le développement et la diffusion de la recherche en neuroéducation.

Il est également l’auteur du livre « Activer ses neurones pour mieux apprendre et enseigner ».

J’ai eu la chance d’interviewer Steve Masson dans l’épisode #23 du podcast que je vous invite à écouter.

Angeline Stoll Lillard est professeur de psychologie à l’université de Virginie et auteur du livre « Montessori une révolution pédagogique soutenue par la science ». Ce livre a été traduit en français par Charlotte Poussin (également auteur de nombreux livres) que j’ai eu le plaisir de recevoir dans l’épisode #38 du podcast et que je vous invite également à écouter.

J’espère que vous apprécierez ce podcast. Si c’est le cas, n’oubliez pas de laisser un commentaire et de cliquer sur les étoiles pour donner de la visibilité au podcast.

Dans ce podcast, je partage avec vous ma réflexion sur la conjugaison. 

Je veux redonner du sens à la conjugaison et permettre aux enfants de maîtriser la langue française plus facilement. 

La langue française n’est pas facile. Mais justement c’est pour cela que je travaille sur un outil pour leur simplifier la tâche.

Si vos enfants ou vos élèves :

• ne maîtrisent toujours pas les accords du verbe
• s’ils passent beaucoup de temps à s’entraîner mais que les résultat ne sont pas là
• s ’ils vivent la conjugaison comme un apprentissage douloureux
• S’ils ne voient pas l’intérêt de mémoriser toutes les terminaisons des verbes

Que vous soyez parent ou enseignant, j’imagine que vous aimeriez trouver une solution
pour :

• Qu’ils mémorisent les terminaisons des verbes au passé, au présent et au futur
• Qu’ils aient des meilleures notes en dictée
• Qu’ils soient capable de conjuguer les verbes correctement quand ils écrivent un
  texte
• Et surtout qu’ils retrouvent le plaisir d’écrire
  En partant de ce constat, du fait que les enfants ont des difficultés avec la
  conjugaison, j’ai crée un outil efficace pour redonner du sens à la conjugaison, du
  plaisir. Oui, il y a de nombreuses possibilités. La langue Française n’est pas facile.

Pourquoi cet outil est efficace ?
Car je me suis appuyée sur mon expérience de professeur des écoles (depuis
2006), sur mon expérience Montessori et sur les neurosciences

Il y a 7 ans, j’ai découvert le matériel Montessori de mathématiques. J’ai ressenti une joie immense en comprenant enfin certaines notions. En même temps, j’ai ressenti une grande frustration. Pourquoi je n’avais pas eu la chance de travailler avec ce matériel ?

Je me rattrape avec les enfants que j’accompagne! 

J’adore voir la joie des jeunes enfants qui découvrent ce matériel. Avec les enfants plus âgés qui n’aiment plus les maths, quelle joie de voir la lumière dans leurs yeux quand ils peuvent enfin mettre du sens!

J’ai oublié de partager dans cet épisode mon interrogation : 

Est-ce que le système scolaire actuel n’est pas en train de créer des dyscalculies ? 

Je n’ai pas la réponse mais ce qui est sûr, c’est qu’il n’aide pas les enfants à donner du sens aux maths et ne leur permet pas d’aimer les mathématiques. 

Comment expliquez vous qu’un enfant de CE2 passif en classe me supplie de refaire une soustraction avec les perles avant la fin de notre séance ? 

Dans cet épisode, je partage mon expérience et celle des enfants que j’accompagne avec le matériel Montessori de mathématiques. 

Si vous êtes parent (près de Dijon) et que votre enfant ne développe pas son plein potentiel en math, vous pouvez me contacter. 

Et si vous êtes professeur des écoles et que vous voulez offrir à vos élèves les moyens d’être compétent en maths et de s’enthousiasmer, vous pouvez me contacter. 

Après avoir interviewé 40 éducateurs qui cherchent à contribuer au plein épanouissement affectif et cognitif des enfants , je débute cette saison 3 en partageant mon expérience. Puis je reprendrai les épisodes avec d’autres invités dans quelques mois.

Aujourd’hui, je souhaitais partager avec vous une situation que j’ai vécue dans la classe de GS où je travaille une journée par semaine.

J’imagine qu’il vous arrive d’être découragé par le comportement d’un enfant.

Découragée, je l’étais. Mais ce que j’ai vécu l’après-midi m’a époustouflé.

Vous découvrirez mon aventure dans cet épisode.

Je partage un passage de ma formation « Vers une pédagogie en cohérence avec le fonctionnement du cerveau » en lien avec le sujet du jour :

« Quand les enseignants sont capables d’empathie, ils créent un lien de qualité avec leurs élèves qui génère un véritable cercle vertueux : les élèves se sentent compris, ils sont à l’aise, confiants, ils sont de plus en plus motivés et leur réussite scolaire augmente. L’empathie de l’enseignant retentit sur le climat de la classe et favorise le comportement positif des élèves. Elle permet à l’enseignant de savoir réagir à l’agressivité. À l’inverse le manque d’empathie de l’enseignant augmente les comportements agressifs des élèves.”

Marie Celton est orthophoniste et depuis qu’elle s’est formée à la pédagogie Montessori, elle accompagne les enfants dys avec un autre regard et une autre méthode afin de redonner du sens aux apprentissages. 

Voici quelques-uns des sujets abordés : 

• Y’aurait-il moins d’enfants dys s’ils profitaient tous d’une éducation Montessori? 
• Comment accompagnez-vous les enfants dyslexiques ? 
• Comment aider un enfant à avoir une meilleure mémoire de travail ? 
• Le travail sur les syllabes et sur les sons 

Marie a partagé plusieurs livres, citations et coups de coeur. 

« Faire comme tout le monde, c’est anti-Montessorien ». 

J’espère que vous apprécierez cet échange avec Marie sur l’importance de redonner du sens aux apprentissages. Si c’est le cas, n’oubliez pas de laisser un commentaire ici ou sur sur votre plateforme d’écoute, de vous abonner et de cliquer sur les étoiles pour donner de la visibilité au podcast. 

Elisabeth est orthopédagogue à Montpellier. C’est une enseignante passionnée qui n’arrête jamais de se former pour pouvoir accompagner au mieux les enfants à besoin éducatif particulier. 

Elle a commencé sa carrière en tant qu’enseignante, puis est devenue maitresse E (enseignante spécialisée à dominante pédagogique) et travaille aujourd’hui en tant qu’orthopédagogue. 

Voici quelques uns des sujets que nous avons abordés : 

– Quel est le rôle d’un ortopédagogue ? 

– Que changerait-elle si elle était ministre de l’éducation nationale ? 

– Comment aider un enfant de cycle 3 qui lit difficilement ? 

J’espère que vous apprécierez cet échange avec Elisabeth sur l’othopédagogie. Si c’est le cas, n’oubliez pas de laisser un commentaire ici ou sur votre plateforme d’écoute et de vous abonner.